Collection Folle Du Cul. Douceur Rudesse, Rudesse - Tendresse (1/3)
Il y a trois ans que jai épousé Marc, jeune homme de 25 ans, venant de finir ses études.
Il a trouvé un poste dinstituteur à Marseille dans les quartiers nord, notre maison est à Aubagne.
Nous louons une maison avec piscine, moi, je cherche du travail, mais sans en trouver.
Marc souhaite avoir un , jai officiellement enlevé mon stérilet, pour mieux en douce prendre la pilule.
Jignore pourquoi, mais la promesse que je lui ai faite se heurte aux rapports sexuels que nous avons.
Jétais vierge quand je me suis mariée
Cest lors de notre nuit de noces que Marc ma dépucelé, nous avons été à tour de rôle dans la salle de bain, j'y suis passée la première, il y est allé à son tour, jespérais voir sa verge, mais il a éteint la lumière.
Il est venu à mon côté, a écarté mes cuisses et est entré en moi, jai eu mal, à partir de ce jour, il ma toujours baisé avec douceur.
Nous baisions comme lhistoire quune copine nous avait racontée au bahut.
Un anglais baise sa Lady, la dame émet un petit cri.
- Oh ! My gode, je vous ai fait mal ?
- Non pourquoi ?
- Vous avez bougé.
Il me laboure doucement, comme à son habitude, jai une légère crampe, je bouge ma jambe.
- Oh ! Pardon mon cur, je tai fait mal.
Certes, certaines choses se sont améliorées, je lai vu nu, cest lété suivant que je me suis allongée nue, moi aussi, en sortant de notre salle de bains, la chaleur était étouffante, il ma rejoint, la lumière du jour était suffisante malgré les stores quil avait baissés.
Cétait la première verge que je voyais, sans référence, comment voir quelle faisait partie de celle de petite taille.
Comme à son habitude, il a écarté lune de mes cuisses et ma prise très doucement.
Depuis quelque temps, je simule, jouvre mes yeux pour voir sil a repéré mon stratagème, il a lui-même les yeux fermés, il décharge poussant un grand cri et tombe sur le côté à sa place.
Sa verge est encore bandée, au bas mot, huit centimètres, jaurais bien voulu en faire plus, mais il a lâché.
- Merci ma chérie, je suis content de tavoir fait jouir, jai eu moi-même beaucoup de plaisir, jespère que je tai fait notre .
Douceur, rudesse, je suis aux portes de lui dire que ce matin avant quil vienne membrasser et partir pour son école, je venais de prendre ma pilule et quil était sûr, que ce mois-ci, mes ragnagnas seraient hélas, là pour lui.
La vie aurait pu sécouler longtemps ainsi, je venais de sortir de leau et je venais de mallonger sur un transat, nue, aucun voisin à lhorizon, pour me mater, quand on ma apostrophé.
- Excuse-moi, mon frangin est là ?
Jai sauté sur la serviette que javais amenée, je lai mis sur mes seins, en une seconde, jai vu le comique de la situation, ma chatte était toujours découverte.
- Vous faites erreur, Marc mon mari est à son travail, il est instituteur et est fils unique.
- Tu es la femme de Marc, mon frangin, les salops, ils mont entièrement effacé de leur vie.
Je suis bien le frère de Marc, je viens de passer six ans à lombre après le braquage du fourgon postal de La Ciotat.
Ton mari a oublié de te parler de Georges son frangin, braqueur de banque et autres pourvoyeurs de fond.
Un jour, je venais de rencontrer celui qui allait devenir mon mari, il ma présenté à ses parents, sur le buffet, une photo de Marc jeune que je reconnaissais et dun autre jeune homme, jai demandé à celle qui depuis est devenue ma belle-mère qui sétait.
- Un cousin de la famille dont nous étions très proches, il est mort.
Jai compris à son ton quelle sen tiendrait à cette explication, jai tout de suite senti quavec elle, les choses seraient toujours difficiles.
Je lui volais son petit chéri, Marc à mes côtés a baissé les yeux.
Jai devant moi lun de ceux ayant été arrêté et qui mavait fait flipper.
Cest vrai, il avait été dit que les 30 millions deuros représentant la paye des employés des chantiers avaient disparu.
- Tas une piaulle ?
Dans trois jours, je vais récupérer la maison que javais avant de tomber, je veux éviter de coucher sur un banc.
- Venez, nous avons une chambre dami.
Je me lève, je noue ma serviette sur mes seins, ma chatte est à peine cachée, je monte à létage, il dépose son sac et enlève ses vêtements gardant son boxer.
- Jirais bien plonger une tête, si tu savais le nombre de fois que jai rêvé dun bon bain dans une piscine, lété quand il faisait quarante degrés dans nos cellules.
Nous retournons vers la piscine, dans la pièce voisine, notre chambre, je récupère mon maillot de bain.
Quand jarrive auprès delle, il a déjà plongé et je peux voir sa verge deux fois plus grande que celle de son frère lorsquil nage sur le dos.
Posant ses avant bras sur le bord, il vient se placer face à mon transat me regardant fixement.
- Tu pouvais rester nue, il y a six ans que les chattes me sont refusées, dis-moi, mon frère, il a toujours une aussi petite bite.
Je me tais, inutile de lui dire que je viens de comparer la sienne avec celle qui ma dépucelé, ce serait désobligeant pour Marc.
- Chéri, qui est ce mec dans notre piscine ?
À poil par-dessus le marché.
Son frère venait de repartir faire des longueurs.
- Georges, que fais-tu là, ils tont relâché, tu avais pris dix ans !
- Bonne conduite, quatre ans de remise de peine, jaurais dû sortir il y a un an, mais un pourri de gardien a pris mon poing sur la gueule.
Jai fait connaissance de ta jolie petite femme, si je comprends bien tu as un boulot, une épouse, maman doit être contente de son chérubin.
- Arrête de me vanner, jai bien changé, depuis que jai épousé Juliette et que jai commencé mon métier dinstituteur.
Tu vas trouver ça marrant, mon collège est à deux pas de la tour où nous avons grandi.
Jai la fille de Jacinthe dans ma classe, tu sais !
- Je sais qui est Jacinthe, la pute de la tour, elle nous a tous déflorées.
Cest peut-être ma fille, cest vrai toi tu étais sérieux, la tienne, je pense que tu las réceptionné vierge à ton mariage frangin.
- Arrête, de parler de ça à ma femme, tu sais que cela me gêne.
Ma journée m'a fatigué, je vais prendre une douche, prépare à manger.
Georges sort de leau et récupère sa serviette, jai le temps de voir sa verge, je suis obnubilée, heureusement pour mon mari que je suis fidèle.
- Dit, il a pris de lassurance le frangin, lui qui avait peur de son ombre.
Si tu savais le nombre de coups de poing que jai pris dans la gueule afin de défendre, ce petit coco à sa mémère, pour quel résultat, pas une visite en six ans de placard.
Commander une frangine, il sait faire, cest le même que notre père.
J'ai pris sa force et ses mauvaises habitudes, le chérubin, lui, nous avons le résultat sous les yeux.
Le repas se passe sans anicroche, je sens que ces deux frères sont prêts à en découdre au moindre propos de travers, jusquà ce que nous rejoignions nos chambres.
- Juliette, pourquoi las-tu laissé rentrer, il va nous pourrir la vie.
- Cest ta faute, ce matin tu as dû partir en laissant le portillon ouvert.
Je suis restée au bord de la piscine toute la journée sans sortir, il a demandé si nous pouvions lhéberger deux trois jours.
- On verra bien mais fait attention.
Nous nous sommes couchés, il ma mis sa petite verge dans le con, jai soufflé et jai geint au bon moment, il a déchargé et cest endormi.
Quand il me baisait, jai failli penser à la verge de son frère pour démarrer, il faisait trop chaud.
- Au revoir chérie, dors bien, je tai senti bouger toute la nuit, tu as mal dormi, la chaleur certainement.
Je vais acheter une clim, souviens-toi de ce que je tai dit, méfie-toi de lui.
Il est onze heures quand jémerge.
Je me lève, jai passé ma nuisette ayant oublié la présence du frère, je me sers une tasse de café quand je sens une présence dans mon dos.
- Ben dit donc, cest loin dêtre la fête du slip avec mon frangin.
Il sait que tu simules quand il te baise ?
Hier, javais du mal à trouver le sommeil, je lai entendu te faire lamour, pauvre petite fille frustrée.
Je me retourne, il est là nu, il veut se frotter à moi, cest plus fort que moi, ma réaction est violente, je lui balance ma tasse de café à la figure.
- Sale pute, tu vas voir si tu peux me balancer ton café à la gueule.
Chance pour lui, je bois mon café presque froid, pour moi, cest une tout autre affaire.
Il me prend par les cheveux, il me courbe jusquà son sexe, contraindre une femme doit le faire jouir, il commence à bander.
- Suce salope, tu vas voir comment Georges fait avec les petites putes dans ton genre !
Évite de me mordre, sinon tu vas prendre la voler de ta vie espèce de petite bourge.
Je le rentre dans ma bouche, en quelques secondes il est le double de celle que jai tous les jours.
Cest la première fois que je fais une fellation, le jour où Marc ma montré sa petite bite, cest ça que jaurais voulu lui faire.
Il me relève, jai juste le temps de voir son regard froid comme de lacier.
Il me retourne et me plante sa verge, inutile de feindre.
Il me donne de grands coups de queue, ma chatte est en feu, je deviens folle du cul sous la rudesse de notre coït
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